De plus en plus d’entreprises proposent désormais des alternatives écologiques à différents services et produits dont on fait usage au jour le jour. Notamment dans l’industrie des transports, on peut citer les nombreux services d’autopartage qui visent à mutualiser le transport des véhicules personnels. Mais, si de telles alternatives sont viables dans les trajets entre villes, ils sont moins pertinents et économiques pour les trajets dans les centres urbains.
Lutter contre la pollution des transports
Des plateformes comme Uber, Lyft, Blablacar ou Ouicar sont moins intéressantes pour des trajets urbains. En effet, ils ne sont pas toujours moins coûteux que les taxis classiques, et n’ont pas non plus une véritable pertinence écologique. Notons toutefois qu’il y a des services qui prennent le relais à l’intérieur des villes. On pense notamment à Cityscoot qui met en location des motos électriques.
Certaines plateformes proposent quant à elles un service de vélo en location dont tout le monde peut profiter. Des alternatives intéressantes qui méritent qu’on s’y attarde.
Le cas des vélos en libre-service
En dehors des services privés qui donnent accès à des motos, voitures et même des vélos en location privée, il y a des villes qui ont commencé à mettre en place des services similaires. Ici, il s’agit de services de libre partage de vélos principalement. Dans certains cas, ces services sont gérés par les villes. Dans d’autres, ils sont confiés à des prestataires privés comme Gobike, Ofo ou encore Velib’.
Au nombre des villes dans lesquelles l’expérience a été tentée, on peut citer : Helsinki, Leipzig, Rennes, Oslo, Londres, Anvers, Paris, Besançon, etc. Dans toutes ces communes, la démarche n’a pas connu le même succès. Le vandalisme, le vol et parfois les soucis de rentabilité ont conduit les services à être interrompus ou complètement abandonnés. Mais, personne ne niera que c’est une des alternatives les plus viables pour lutter contre la pollution des transports.